Au cours des derniers mois, les dons faits à l’aide du distributeur de dons « Éclairer le monde », parrainé par l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours, ont fait une différence dans la vie des jeunes filles et des femmes au Népal grâce à des trousses menstruelles et à l’éducation.
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Temple Square is always beautiful in the springtime. Gardeners work to prepare the ground for General Conference. © 2012 Intellectual Reserve, Inc. All rights reserved. | 1 / 2 |
Chaque année à Noël, les distributeurs de dons offrent au monde entier un moyen unique d’accepter l’invitation du Sauveur à aimer notre prochain (voir Matthieu 22:39). Les trousses menstruelles, proposées par Days for Girls International, ne sont qu’un article parmi plus de 3000 articles présentés dans les machines de par le monde.
« Days for Girls s’efforce de mettre fin à la précarité menstruelle à l’échelle mondiale, a déclaré Tiffany Larson, PDG de Days for Girls International. Cinq cents millions de femmes et de jeunes filles n’ont pas accès à ce dont elles ont besoin pour s’occuper de leurs règles chaque mois, ce qui représente 25 % des femmes dans le monde. »
« Il y a beaucoup de problèmes concernant la menstruation au Népal », a déclaré Maya Kahitu, directrice de Days for Girls au Népal. Madame Kahitu voyage à travers le Népal. Elle donne des cours sur la menstruation et distribue des trousses d’hygiène comprenant des serviettes hygiéniques réutilisables.
De nombreuses filles de ces villages manquent l’école en raison d’un manque d’articles sanitaires adéquats. Rekha Budha Kshetri et sa communauté de l’ouest du Népal ont bénéficié de ces dons. « À cause de la menstruation et du manque de serviettes hygiéniques, certaines filles ont même cessé d’aller à l’école, a-t-elle déclaré. Mais ici, grâce à ce programme, il est devenu beaucoup plus facile pour les jeunes filles d’aller à l’école. Days for Girls a vraiment contribué à créer un environnement plus favorable pour elles. »
Madame Larson a dit : « Nous redonnons aux jeunes filles leurs jours parce qu’en moyenne, elles ont leurs règles pendant 3 000 jours au cours de leur vie, et si elles ne peuvent pas s’engager pleinement dans la vie qu’elles veulent vivre pendant cette période, c’est un problème parce que les filles sont nécessaires dans leur famille, leur communauté et le monde. »
Dans certaines régions de l’ouest du Népal, de nombreuses femmes et filles sont encore confrontées à une pratique néfaste connue sous le nom de « chhaupadi », malgré les lois qui s’y opposent. Pendant le chhaupadi, les femmes menstruées sont considérées comme impures et sont isolées.

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Rabina est assise dans une cabane que sa famille lui a réservée pendant ses règles. Dans certaines régions de l’ouest du Népal, de nombreuses femmes et jeunes filles sont encore confrontées à la pratique néfaste du chhaupadi, malgré les lois qui s’y opposent. Selon le chhaupadi, les femmes menstruées sont considérées comme impures et sont envoyées en isolement dans des cabanes comme celles-ci. 2025 by Intellectual Reserve, Inc. All rights reserved.Jayani Ayer vit dans un village où cette pratique est encore courante. Elle a expliqué : « Dans notre cas, selon les personnes, certaines sont isolées pendant 22 jours, d’autres pendant 10 ou 12 jours. Elles ne sont pas autorisées à entrer dans la maison. On nous oblige à rester à l’extérieur, à aller chercher de la nourriture séparément et on ne nous permet pas d’être touchées pendant six jours. ».
Karishma a commencé ses règles la semaine où Madame Kahitu et Days for Girls sont arrivés dans son village. Elle a pu en apprendre davantage sur l’importance de la menstruation et a eu des discussions avec sa famille. Ensemble, ils ont décidé de cesser de pratiquer le chhaupadi. « Days for Girls est arrivé et nous a offert une protection grâce au distributeur de dons, a-t-elle dit. Nous sommes si heureuses. »
Madame Kahitu voit des vies changer lorsqu’elle enseigne et fournit ces ressources tellement indispensables. Elle constate qu’à travers ces dons, « ce n’est pas seulement une fille, c’est toute la collectivité, toute la nation qui va changer ».