La position de l'Eglise est que les sévices ne peuvent être tolérés sous quelque forme que ce soit. Les personnes qui font subir des sévices ou qui sont cruelles envers leur conjoint, leurs enfants ou tout autre personne, violent les lois de Dieu et des hommes.
Ces personnes sont passibles d'une action disciplinaire de l'Eglise. Elles ne doivent pas avoir d'appel ou de recommandation pour le temple.
Dans le cas de sévices, la première responsabilité de l'Eglise est d'aider les personnes qui ont été maltraitées et de protéger celles qui peuvent être victimes de futurs mauvais traitements.